postpartum positif et proactif

Postpartum positif : comment le transformer en une aventure épanouissante

« Le postpartum, c’est dur. La maternité, c’est compliqué. Tu vas mettre des années à retrouver l’équilibre. Et ton couple ? Même pas la peine d’en parler… »

Ce genre de phrases, on les entend partout. Dans les vidéos, les stories, les podcasts. Et franchement ? Ça m’agace.

Oui, c’est important de lever le voile sur les réalités du post-accouchement. C’est nécessaire de briser les tabous. Mais est-ce qu’on est obligés de tomber dans une vision aussi misérabiliste ? Est-ce qu’on est vraiment condamnées à galérer ?

Et si on arrêtait de dire que le postpartum, c’est forcément un cauchemar ?

Aujourd’hui, j’ai envie de te proposer autre chose. Une autre façon de voir les choses.

Et si, au lieu de considérer le postpartum comme une période de souffrance obligatoire, on le voyait comme ce qu’il est aussi : une étape naturelle, transformatrice, le premier chapitre d’une aventure qui peut être belle, intense, puissante ?

Oui, j’ai moi-même traversé un postpartum compliqué. Oui, j’ai connu le burnout, la dépression, la fatigue extrême. Mais aujourd’hui, je vais bien. Je suis une maman heureuse. Et je suis convaincue que ce n’est pas une exception.

Dans cet article, on va secouer les croyances toutes faites sur la maternité. Je vais te montrer pourquoi ce discours négatif généralisé est un piège — et surtout, comment tu peux en sortir.

Parce que non, devenir mère ne doit pas rimer avec perdre pied.

Et oui, tu peux vivre un postpartum positif et proactif.

Retrouve également ma vidéo sur ce sujet sur ma chaîne Youtube.

Déconstruire les clichés : en finir avec la vision misérabiliste du postpartum

Aujourd’hui, quand on explore les contenus autour de la maternité sur Instagram, YouTube ou les blogs, un contraste très marqué saute aux yeux. D’un côté, une maternité idéalisée, presque figée : une maison toujours impeccable, un bébé qui dort comme un rêve, une mère radieuse, organisée, en maîtrise de tout.

Et de l’autre, l’exact inverse. Des images de chaos total, souvent teintées d’humour noir : une maman au bord de la rupture, des pleurs à répétition, une chambre en désordre, une fatigue extrême. Et des blagues pour rendre la chose « normale », comme si souffrir ensemble était devenu une forme de solidarité.

Deux visions extrêmes et opposées du postpartum

Entre ces deux extrêmes, pourtant, il y a la vraie vie. Une maternité faite de hauts et de bas, de belles surprises comme de moments de doute. Une maternité bien plus nuancée. Et c’est cette réalité-là qu’on entend de moins en moins.

Le souci, c’est qu’en voulant briser le tabou du postpartum, on a parfois glissé vers un autre excès : celui d’un discours misérabiliste, dans lequel la souffrance est perçue comme une norme. Pire : comme un passage obligé.

Je l’ai vécu personnellement. Après mon accouchement, j’ai écouté plusieurs podcasts que j’apprécie vraiment, mais qui m’ont parfois plongée dans une forme d’angoisse. Les récits étaient très intenses, souvent centrés sur des parcours difficiles. Et même si ces témoignages sont importants, à force de n’entendre que ça, j’ai fini par me dire : « Si tout le monde souffre, alors moi aussi, c’est normal que je n’y arrive pas. »

Pendant ma grossesse, j’étais aussi dans un groupe de futures mamans. On se soutenait, on s’encourageait, il y avait une belle énergie. Mais une fois les bébés arrivés, j’ai vu ces mêmes femmes tomber les unes après les autres dans des formes de dépression ou d’épuisement profond. Comme si c’était inévitable. Comme si on n’avait pas d’autre choix.

Et on me dit souvent : “Oui, mais au moins aujourd’hui, on en parle.”

C’est vrai. C’est une avancée précieuse. Mais on peut faire mieux. On peut parler du postpartum sans l’enfermer dans une image de fatalité. On peut sortir de ce récit où la douleur est le seul langage disponible.

Parce qu’il faut le dire : non, je n’ai pas eu un enfant pour souffrir.

Et toi non plus.

Vers un postpartum positif et proactif : une nouvelle façon d’aborder cette période

La maternité n’est pas censée être un supplice. C’est une période de transformation, oui. Mais ce n’est pas pour autant qu’elle doit être subie dans la douleur ou la confusion.

Il faut aussi reconnaître que notre société actuelle n’aide pas. Manque de soutien, isolement, charge mentale démesurée… Le contexte est loin d’être idéal. Mais est-ce une raison pour renoncer à toute forme de joie ou de puissance dans cette expérience ? Je ne le crois pas.

Une vision nouvelle et réaliste du postpartum

Je parle d’expérience. J’ai traversé un postpartum compliqué. J’ai vécu un burnout maternel, un burnout professionnel, une dépression. Et pourtant, aujourd’hui, je suis une mère épanouie. Et je suis persuadée que ce que je vis aujourd’hui n’a rien d’exceptionnel. Ce n’est pas une chance. C’est le fruit d’un changement de regard et de posture.

On peut choisir de vivre cette étape autrement. On peut sortir du mode survie.

Parce que non, il n’est pas nécessaire de passer par la douleur pour être une bonne mère.

Et si on commençait à envisager le postpartum comme un projet de vie, plutôt que comme une épreuve à traverser au petit bonheur la chance ?

Quand tu organises ton mariage, tu prends le temps de choisir les détails, de t’entourer, de planifier. Tu n’y vas pas en te disant : « On verra bien, je verrai comment je gère. » Alors pourquoi la maternité — un événement tout aussi majeur — serait-elle laissée au hasard ?

Le postpartum n’est pas une punition. C’est une étape naturelle.

Une période de transition qui mérite d’être pensée, préparée, accompagnée avec attention.

Tu peux choisir de te laisser porter, ou tu peux choisir de prendre part activement à cette transition.

Et cette deuxième voie est possible. Elle est même puissante.

Pourquoi les ressources classiques ne suffisent pas (et ce qu’il manque)

Quand on cherche à se préparer à la maternité, on pense tout de suite aux livres, aux podcasts, aux groupes de mamans, aux vidéos YouTube. Et oui, ces ressources peuvent être précieuses. Je les ai utilisées, je les ai aimées. Mais il faut aussi être lucide : elles ont leurs limites.

Prenons les livres, par exemple. Certains sont très bien faits, ultra complets, parfois même passionnants. Mais entre la fatigue, les nuits hachées, et un bébé qui pleure pour la cinquième fois de la nuit… tu ne vas pas t’installer confortablement avec un bouquin de 300 pages. Tu vas le feuilleter, peut-être survoler quelques chapitres, et te promettre de le reprendre plus tard. Mais ce « plus tard », il n’arrive presque jamais.

Vivre un postpartum épanoui et prendre soin de soi

Les podcasts et les vidéos sont plus accessibles. On peut les écouter pendant une tétée ou en marchant avec la poussette. Ce que j’ai trouvé puissant, ce sont les témoignages : entendre d’autres mamans dire « moi aussi je galère », ça m’a souvent soulagée. Mais là encore, j’ai touché une limite. Quand les histoires tournent toujours autour de la détresse, du craquage, du « je n’en peux plus », on sort du réconfort… pour tomber dans l’angoisse. Et ces récits, aussi sincères soient-ils, n’apportent pas toujours de solution concrète, ni de projection positive.

Quant aux groupes de mamans — sur Facebook, WhatsApp ou ailleurs — ils peuvent être formidables pour rompre la solitude. Moi, c’est comme ça que j’ai rencontré l’une de mes meilleures amies. Mais là aussi, il faut être vigilante. Dans certains groupes, l’ambiance devient pesante. L’anxiété circule, les conseils s’échangent sans filtre professionnel, et parfois, on se retrouve à entretenir une spirale descendante sans s’en rendre compte.

Même les accompagnements de type doula, que je respecte énormément, restent limités dans le temps. La doula vient, aide, soutient. Mais une fois partie, si tu n’as pas construit d’outils à toi, tu peux vite te retrouver de nouveau seule, désarmée.

Ce que je veux souligner ici, c’est que toutes ces ressources ont leur place. Mais elles ne suffisent pas si tu veux être actrice de ta maternité.

Être informée, c’est bien. Mais ce qu’il manque trop souvent, c’est un passage à l’action structuré, personnalisé, et durable. Un soutien qui ne te dit pas seulement « courage, tu n’es pas seule », mais qui t’aide concrètement à reprendre la main, à poser les fondations de ton nouveau quotidien, et à te sentir capable.

Parce que ce dont tu as besoin, ce n’est pas seulement d’écouter ou de lire.

C’est de retrouver un vrai pouvoir d’agir dans ta vie de mère.

Les 3 outils clés d’un postpartum positif et proactif

Un postpartum épanoui ne tombe pas du ciel. Il ne suffit pas “d’attendre que ça passe” ou d’espérer que bébé dorme mieux. Ce qu’il faut, ce sont des leviers concrets. Des outils simples, activables au quotidien, qui te redonnent une forme de maîtrise et, surtout, de confiance.

Voici les trois piliers que je transmets à toutes les mamans que j’accompagne. Et qui ont changé ma vie de mère.

Les microvictoires : reprendre le pouvoir cinq minutes à la fois

Quand tout semble échapper à ton contrôle — les pleurs, les horaires, le sommeil, ton corps — l’effet est violent. On se sent impuissante, submergée, parfois même invisible. Et pourtant, il existe un moyen très simple de reprendre la main : les microvictoires.

Le principe est clair : tu choisis une petite action concrète à faire dans ta journée — vraiment petite — et tu la mènes à bien. Ça peut être vider le lave-vaisselle, ranger une pile de vêtements, boire ton thé chaud sans interruption, ou écrire trois lignes dans ton carnet.

Ça peut paraître anodin. Mais en réalité, c’est un outil extrêmement puissant :

  • Tu reprends la main sur ton quotidien.
  • Tu crées un espace mental rien qu’à toi.
  • Et tu te rappelles que tu es capable.

Au début, ça peut être cinq minutes. Puis dix. Puis plus. Aujourd’hui, je prends une heure par jour rien que pour moi, mais j’ai commencé avec beaucoup moins. Et cette heure, je ne l’ai pas “trouvée”. Je l’ai créée, en m’appuyant sur ce rituel de microvictoires. Pas à pas.

Le plan d’action : sortir de la survie, structurer son quotidien

Une des plus grandes erreurs qu’on fait en devenant mère, c’est de croire qu’on ne peut plus rien planifier. Qu’il faut tout laisser au jour le jour, au bon vouloir de bébé. Mais ce n’est pas vrai.

Évidemment, tu ne vas pas tout maîtriser. Mais tu peux poser un cadre. Tu peux avoir une vision. Et pour ça, il te faut un plan d’action.

organiser son postpartum avec un plan d'action

Pas un agenda militaire, non. Juste une feuille où tu écris tes priorités. Ce que tu veux garder en tête. Ce qui compte pour toi cette semaine. Une mini checklist à cocher quand tu as un peu de temps. Une ligne directrice qui t’aide à avancer quand tout semble flou.

L’intérêt est double :

  • Tu allèges ta charge mentale (tout n’est plus dans ta tête).
  • Tu alimentes ton énergie en voyant que tu avances, même lentement.

Un postpartum proactif, c’est ça : reprendre l’initiative dans ton quotidien, même à toute petite dose.

Le cercle de soutien : créer ta tribu, même si tu es loin de ta famille

Tu as sûrement déjà entendu cette phrase : “Il faut tout un village pour élever un enfant.”

Elle est vraie. Mais aujourd’hui, les villages sont éparpillés. On vit loin de nos proches, nos amis sont parfois dans d’autres villes, et notre couple peut être mis à rude épreuve. Résultat : on se retrouve souvent seule, dans une période qui demande au contraire du lien, du soutien, de la présence humaine.

Alors il faut reconstruire ce village.

Et bonne nouvelle : tu peux le faire.

Ce soutien peut prendre mille formes. Une amie proche, un groupe de parents locaux, un lieu d’accueil enfants-parents, une sage-femme qui anime des ateliers. Même un groupe WhatsApp de mamans bienveillantes. L’important, ce n’est pas la forme. C’est que ce cercle t’apporte du réconfort, de l’écoute, et surtout : qu’il te tire vers le haut.

Sois sélective. Entoure-toi de personnes qui te font du bien.

Et rappelle-toi : tu n’es pas obligée de tout porter seule.

Ces trois outils — microvictoires, plan d’action, cercle de soutien — ne transforment pas tout en un jour. Mais ils posent les fondations. Ils te redonnent du souffle. Ils t’aident à redevenir actrice de ta vie de mère. Et à faire de ce postpartum un vrai point de départ.

Préparer le postpartum comme une aventure (pas une survie en camping sauvage)

Si tu devais partir pour un voyage important, tu ferais quoi ?

La maternité est un merveilleux voyage

Tu choisirais ta destination, tu préparerais ta valise, tu réserverais un logement, tu ferais une liste des choses à ne pas oublier. Bref, tu anticiperais, tu t’organiserais, tu te projetterais avec envie.

Et pourtant, quand il s’agit de maternité, on fait souvent exactement l’inverse. On prépare tout pour l’accouchement, on imagine (un peu) la grossesse… mais pour l’après ? On se dit qu’on verra bien. On avance les yeux fermés, dans le flou total, comme si ça devait forcément “se faire tout seul”.

Le souci, c’est que ce fameux “après” est l’une des transitions les plus fortes de toute une vie. Ton corps change, ta place change, ton couple évolue, ton quotidien est bouleversé. Et pourtant, personne ne t’a vraiment proposé de le préparer.

Quand j’ai préparé mon voyage au Japon — un de mes plus beaux souvenirs de vie — j’avais tout planifié avec soin. Est-ce que tout s’est passé comme prévu ? Non. Il y a eu des imprévus, des contretemps, des moments moins agréables. Mais c’est resté un voyage extraordinaire, parce que je savais pourquoi j’y allais, ce que je voulais en vivre, et que j’avais une vision claire de mon expérience.

Le postpartum, c’est pareil. Ce n’est pas une période à “subir en attendant que ça passe”. C’est le point de départ de ta maternité, de cette nouvelle version de toi. Et tu as le droit de le vivre comme une aventure. Préparée, structurée, choisie.

Bien sûr, ce ne sera pas parfait. Il y aura des ratés. Des ajustements. Mais plus tu construis ton cadre, plus tu choisis tes ressources, plus tu crées un entourage solide, et plus tu traverseras cette période avec confiance.

Tu n’es pas en camping sauvage, à improviser entre deux orages.

Tu peux être aux commandes. Tu peux être l’organisatrice, la pilote, la voyageuse.

Et tu peux te dire, quelques mois plus tard : “C’était intense, mais c’était beau. Et j’y suis arrivée.”

Le Cocon : un accompagnement complet pour vivre un postpartum à ton image

Toutes les ressources du monde ne remplacent pas un vrai accompagnement pensé pour toi. Pas pour une mère générique. Pas pour « les mamans en général ». Mais pour la femme que tu es aujourd’hui, avec ton histoire, ton rythme, ton exigence, ton envie de bien faire — sans t’épuiser.

C’est pour ça que j’ai créé le Cocon. Un accompagnement sur plusieurs mois, qui va au-delà du simple soutien ponctuel. Un espace pour poser tes questions, pour déposer ce qui pèse, pour construire des réponses concrètes et alignées avec ta réalité.

Maman Va bien - Le Cocon

Le Cocon, c’est une approche globale, parce que le postpartum ne se vit pas en silos.

Tu n’es pas qu’une maman, tu es aussi une femme, une partenaire, une pro, une personne à part entière. Et chaque facette mérite d’être soutenue.

Concrètement, on travaille ensemble sur :

  • Ta charge mentale : comment la déléguer, la prioriser, la simplifier.
  • Ton énergie : comment retrouver des ressources quand tu te sens vidée.
  • Ton couple : parce que la maternité à deux, ça demande des ajustements. Et si vous n’êtes pas une équipe soudée, tout devient plus fragile.
  • Ton lien avec bébé : créer une connexion forte, sans pression de perfection.
  • Ton retour au travail : le préparer sans culpabilité, avec des outils d’organisation adaptés à ta nouvelle vie.

Et surtout, ce que je veux te transmettre, ce sont des outils durables. Des clés qui restent. Des réflexes qui t’accompagnent bien au-delà des premières semaines.

Le Cocon, c’est aussi un espace pour les papas. Parce qu’eux aussi ont des doutes, des peurs, des questions. Et trop souvent, aucun endroit où les poser. Dans mes accompagnements, leur place est reconnue, légitime et soutenue. Parce que construire une parentalité épanouie, ça se fait à deux.

Ce que je veux, c’est que tu repartes avec une vraie confiance en toi. Que tu te dises :

« Je sais comment faire. Je sais que je suis capable. Et je peux vivre cette maternité pleinement, à ma manière. »

Le postpartum n’est pas une zone grise à traverser à l’aveugle.

C’est une étape fondatrice. Et tu mérites de la vivre avec clarté, puissance et sérénité.

Et toi, tu choisis quoi : subir ou devenir pilote de ta maternité ?

Le postpartum, on peut le vivre comme une galère. C’est ce que beaucoup d’entre nous ont entendu, lu, parfois vécu. Mais ce n’est pas la seule voie. Ce n’est même pas une fatalité.

Tu peux choisir autre chose.

Tu peux choisir de le préparer, de l’aborder avec des outils concrets, de le vivre comme le début d’une aventure qui te ressemble.

Tous les bébés méritent une maman qui va bien en postpartum

Oui, il y aura des nuits blanches. Oui, des moments de doute. Mais avec les bons leviers — des microvictoires, un cadre clair, un vrai cercle de soutien — tu n’es plus spectatrice. Tu redeviens actrice.

Tu mérites un postpartum positif et proactif.

Pas parfait. Pas lisse. Mais vivant. Aligné. Et surtout : à ton image.

Et si tu veux aller plus loin, j’ai conçu un ebook 100 % gratuit pour t’y aider :

“Retrouver l’équilibre après bébé”. Tu y trouveras des conseils, des exercices, des pistes concrètes pour alléger ta charge mentale, renforcer ton couple et construire ton quotidien de jeune maman pas à pas.

📩 Le lien est dans la description (ou dans le premier commentaire épinglé).

Tu peux aussi rejoindre ma newsletter, où je partage chaque semaine des astuces, des témoignages, parfois un peu d’humour, toujours beaucoup de vrai. Et si tu as une question, un doute, ou juste besoin d’être entendue, tu peux m’écrire. Je réponds toujours.

Parce que non, la maternité ne devrait pas te faire perdre pied.

Elle peut te révéler. Elle peut te transformer. Et tu as tout en toi pour la vivre pleinement.

Alors : est-ce que toi aussi, tu choisis d’ouvrir une nouvelle voie ?

Dis-le-moi en commentaire — ou viens en parler avec moi, je t’accueillerai avec plaisir.

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