Maman épuisée mais dévouée

Test : es-tu la gestionnaire en burn-out de ton foyer ?

Tu as déjà eu cette sensation étrange en fin de journée : tu as tout fait (ou presque), tu te sens vidée comme un biberon de 3h du mat, et pourtant… tu as l’impression que rien n’avance ? Bienvenue dans le club, tu es la gestionnaire en burn-out du foyer.

Tu as géré les couches, les RDV médicaux, les lessives qui se reproduisent toutes seules (honnêtement, c’est de la magie noire, non ?), les repas, la logistique, la bonne humeur… et même l’ambiance générale de la maison. Tout ça, en essayant de pas oublier d’être une maman aimante, une compagne présente et une femme équilibrée. On ne va pas se mentir : c’est ultra difficile !

Si tu te reconnais déjà un peu (ou beaucoup) dans ce tableau, ce petit test express est pour toi. Pas pour te coller une étiquette; simplement pour mettre des mots sur ce que tu vis et, peut-être, te rappeler que non, ce n’est pas à toi de tout porter.

Allez, respire un bon coup (oui, là maintenant), et réponds honnêtement : es-tu la gestionnaire en burn-out de ton foyer ?

Retrouve également ma vidéo sur ce sujet sur ma chaîne Youtube 😉

Les symptômes qui ne trompent pas (même si tu essaies de faire semblant)

Tu veux savoir si tu es en mode gestionnaire en burn-out ? Ne fais pas semblant de ne pas voir les signes, ils sont là, clignotants, couleur rose fluo.

Voici un petit florilège de symptômes. Et promis, si tu coches plus de trois trucs dans la liste, tu mérites une médaille… ou une semaine de spa (mais une sieste peut aussi faire l’affaire!)

1. Tu penses en listes, même sous la douche 🧠

La dernière fois que tu as juste laissé ton cerveau vagabonder, c’était avant l’accouchement. Maintenant, même quand tu te laves les cheveux, tu as un PowerPoint mental qui tourne :

  • Laver le doudou (celui avec l’odeur bizarre, mais vitale)
  • Préparer la purée du lendemain
  • Réserver le pédiatre
  • Penser à rappeler Tata Monique (non, en fait non)
  • Trouver un créneau pour faire pipi sans bébé sur les genoux

Et si, par malheur, tu as oublié un point dans ta to-do mentale ? BAM. Tu te réveilles en sursaut à 3h27 du matin avec une alarme interne qui hurle : “LA LESSIVE DU BODY AVEC LES ÉTOILES !” (oui, c’est très spécifique et je parle d’expérience)

2. Tu gères l’agenda familial comme un assistant de direction sur-caféiné 📅

Tu as un calendrier Google partagé, un planning imprimé sur le frigo, et un carnet spécial “logistique bébé”. Tu sais par cœur la date du prochain vaccin, la taille de couches à commander et le menu de la semaine. Ton partenaire ? Il sait vaguement qu’on est en 2025.

C’est toi qui tiens la baraque. Sauf que tu es aussi celle qui se demande pourquoi elle est au bord des larmes dès que quelqu’un prononce “éveil musical” ou “pédiatre”.

Sur charge mentale maternelle

3. Tu es tout le temps fatiguée, mais tu continues quand même🥱

Tu as largement dépassé le stade “fatiguée” depuis six mois. Là, tu es en mode fonctionnement par défaut, comme ton ordi quand il surchauffe. Sauf que tu n’as pas de bouton redémarrer.

Tu carbures au café/thé froid, tu oublies des mots basiques (“le bidule à laver les assiettes” = lave-vaisselle), et tu as mis une fois ton téléphone dans le frigo (et ta tartine sur le chargeur).

Mais tu continues. Parce que “si je le fais pas, personne va le faire”. Et aussi parce que tu es persuadée que c’est “normal” d’être KO quand on a un bébé. Spoiler alerte : NON.

4. Tu râles… beaucoup (et tu culpabilises ensuite)😤

Tu t’étais jurée que tu serais une maman cool. Posée. Zen. Et puis tu as découvert la charge mentale, version 9e cercle de l’enfer.

Du coup, tu râles parce que ton partenaire met “juste” les bodys dans la machine mais oublie l’adoucissant. Tu râles quand le bébé pleure pile au moment où tu t’assois. Tu râles quand on te dit “profite, ça passe vite”.

Et après, tu t’en veux. Parce qu’en vrai, tu aimes ta famille. Mais parfois tu as juste envie d’appuyer sur pause, de fuir au Maldives (je viens avec toi), ou de pleurer dans ton placard à balais.

5. Tu ne sais plus ce que tu aimes faire (en dehors de survivre)😶

Avant, tu aimais lire, faire du yoga, sortir avec tes copines, créer des tableaux Pinterest dignes d’un magazine scandinave, cuisiner et faire du crochet créatif.

Aujourd’hui ? Si tu as 20 minutes de libre, tu fais une machine, tu réponds à deux mails, et tu regardes ton bébé dormir (en pensant à ta to-do).

Tu as disparu derrière ton rôle de gestionnaire. Tu fonctionnes, tu assures, tu fais. Mais toi ? vraiment, TOI? Tu sais plus trop où elle est.

6. Tu passes ta vie à « optimiser », mais tu es toujours à la bourre 😵‍💫

Tu lis tous les tips d’organisation. Tu testes des applis, des routines, des tableaux Trello pour répartir les tâches (oui, Trello, Audrey, je sais).

Et pourtant ? Tu es toujours en retard, en panique, et à deux doigts de pleurer parce que tu as oublié la date de la réunion de crèche.

Tu as l’impression d’avoir tout essayé. Et ça t’épuise encore plus. Tu veux bien déléguer, mais à qui ? Comment ? Et surtout… est-ce qu’ils vont le faire correctement (comme toi) ?

7. Ton couple devient une équipe logistique… mais sans les afterworks💔

Vous vous aimez. Mais entre les couches, les tensions, les nuits hachées et le boulot… vous êtes devenus collègues de gestion parentale.

Les messages ? C’est “Tu peux prendre le relais ?” ou “T’as vu le mail de la crèche ?”. Les discussions ? C’est “T’as vidé le lave-vaisselle ?” ou “On mange quoi ?”.

Et toi, tu rêves juste d’un moment câlin sans qu’un bébé se réveille en hurlant dès le premier bisou.

Bon. Si tu t’es reconnue dans au moins 4 de ces trucs, spoiler alerte : tu es clairement en mode gestionnaire en burn-out.

Mais t’inquiète, c’est pas une fatalité. La suite, ce n’est pas de culpabiliser, c’est de comprendre ce qui t’a mise là-dedans… et comment commencer à t’en sortir sans tout envoyer balader.

Le Mini-Test : Fais le point en 7 questions

Attrape un bout de papier, ouvre l’appli Notes ou grave dans ta mémoire de maman sous-caféinée : à chaque question, tu choisis une réponse (A, B ou C), et tu notes ton score selon cette grille :

  • A = 0 point
  • B = 1 point
  • C = 2 points

Prête ? C’est parti.

Test pour savoir quelle maman tu es

1. Quand ton bébé pleure alors que tu ranges les courses, tu…

A) Laisses tout en plan pour le consoler. Les yaourts attendront.

B) Essaies de faire les deux en même temps, en chantant une comptine à voix haute et en triant les légumes.

C) Grognes intérieurement, finis de ranger pour “avancer un peu”, et vas ensuite consoler avec une culpabilité XXL.

2. Ton partenaire demande : “On mange quoi ce soir ?” Tu…

A) Proposes de commander, le frigo est vide et t’as pas la tête à ça.

B) Te dis “j’aurais dû prévoir” et lances un œil accusateur au fond du placard.

C) Fulmines intérieurement parce que tu gères déjà TOUT, alors cette question, c’est la goutte de trop.

3. Tu es seule à la maison 30 minutes. Tu fais quoi ?

A) Tu prends un bain. Avec de la musique. Et zéro culpabilité.

B) Tu ranges un peu et te poses vite fait avec une tisane.

C) Tu profites pour plier du linge, lancer une machine, répondre à deux mails et checker les stocks de coton.

4. Ton cerveau la nuit, c’est plutôt…

A) Dodo paisible (enfin, quand bébé dort aussi).

B) Réveil à 4h32 avec l’envie de checker la liste des vaccins.

C) Une rave party de to-do, avec bruitages internes et rappels de trucs que t’as oubliés en 2016.

5. Un imprévu débarque dans ta journée (ex : pédiatre annulé, couche explosive, grève de crèche). Tu…

A) T’adaptes comme tu peux, tant pis.

B) Réorganises tout ton planning en serrant les dents.

C) Te mets à pleurer devant le grille-pain.

6. Tu as une discussion de couple récemment. Le thème, c’était…

A) Vos projets, vos envies, comment vous allez.

B) La logistique du week-end.

C) Qui fait quoi, et pourquoi encore une fois tu dois tout rappeler.

7. La dernière fois que tu t’es sentie vraiment bien, c’était…

A) Ce week-end, en balade avec bébé et ton partenaire.

B) Il y a quelques semaines, entre deux poussées dentaires.

C) Tu t’en souviens plus. C’est flou. Un peu comme ta vision quand t’oublies tes lunettes (et que tu oublies qu’en vrai, tu n’en portes pas).

Résultats – Fais le total de tes points :

👉 0 à 4 points : “T’as chaud, mais t’as pas cramé”

Tu ressens un peu de charge, bien sûr (c’est presque inévitable), mais tu arrives encore à lever le pied quand il faut. Tu t’autorises des pauses, tu communiques, tu délègues (même si c’est pas toujours parfait). Bref, tu es en mode gestionnaire, mais pas sacrifiée. Continue à préserver ton énergie, parce que tu sais quoi ? C’est précieux.

👉 5 à 9 points : “Tu frôles la surchauffe”

Tu tiens la barre, mais à quel prix ? Tu es fatiguée, tendue, et tu as parfois l’impression d’être la seule adulte fonctionnelle du foyer. Tu jongles, tu t’épuises, tu râles (et tu culpabilises). Il est peut-être temps de reprioriser : tout ne doit pas reposer sur toi. NB: même si tu as un master en organisation, tu as le droit de ne pas tout porter.

👉 10 à 14 points : “Alerte rouge : gestionnaire en burn-out détectée” 🚨

Tu portes tout. Tout le temps. Et ça craque de partout. Tu gères les tâches, les émotions, la maison, les enfants, le couple, les courses, le planning… mais plus toi. Tu es en pilote automatique, et tu n’as même plus le temps de réaliser à quel point tu es é-pui-sée.

💡 Il est urgent de ralentir, de te faire aider, de poser des limites. Tu n’as pas échoué. C’est juste que ce rôle de superwoman est intenable, et il est temps de t’autoriser à souffler.

Prochaine étape dans l’article : comprendre pourquoi tu t’es retrouvée à gérer tout ça… et non, ce n’est pas juste parce que “tu es organisée”.

Pourquoi tu es devenue la gestionnaire (épuisée) de ton foyer

Spoiler : ce n’est pas de ta faute.

Tu ne t’es pas réveillée un matin en te disant : “Tiens, si je prenais en charge 98 % de la logistique familiale et 100 % de la santé mentale de tout le monde, y compris du chat ?”

Et pourtant, aujourd’hui, tu te retrouves à tout anticiper, organiser, planifier… en plus de vivre ton post-partum.

Alors… comment on en arrive là ?

1. Parce qu’on t’a appris que “prendre soin”, c’est ton job

Depuis toujours, on te félicite quand tu es douce, organisée, attentionnée. À l’école, à la maison, au travail : tu as appris que tu es “bonne” quand tu gères bien. Alors tu gères. Et dans ta tête, inconsciemment, tu as associé “maternité” à “supervision totale”.

C’est un réflexe culturel, pas un choix volontaire. Tu prends soin, souvent avant même de penser à toi.

Et la société ne t’aide pas vraiment à faire autrement : les livres pour jeunes parents s’adressent à toi. Les mails de la crèche arrivent sur ton adresse. Le pédiatre demande “et la maman, elle en pense quoi ?”. Même quand tu veux déléguer, tout te ramène au centre de la machine familiale.

2. Parce que ton perfectionnisme te joue des tours

Tu as toujours aimé faire les choses bien. Très bien, même. Ton boulot, ton couple, ton hygiène de vie… tu t’es construite en étant compétente. Alors quand bébé est arrivé, tu t’es dit : “Ok, nouveau projet, je vais le gérer.”

Sauf que ce projet-là est vivant, imprévisible, bruyant, et il pleure quand il a sommeil (comme toi, en fait). Impossible à cadrer dans un tableur.

Mais tu continues à essayer. Et quand ça ne marche pas, tu culpabilises. Tu te dis que tu n’es pas assez organisée. Pas assez patiente. Pas assez efficace. Tu remets tout en question – sauf peut-être le fait que tu t’en demandes bien trop.

Gestionnaire du foyer

3. Parce que la charge mentale adore les femmes compétentes

Tu es structurée. Efficace. Fiable. Donc… tu deviens la référence familiale. Même sans l’avoir décidé.

Le problème ? Plus tu es fiable, plus on te confie des responsabilités. Plus tu assures, plus tu deviens indispensable.

Et comme tu sais que ça ira plus vite si tu le fais toi-même… tu con

tinues à tout prendre en charge. Résultat : tu te retrouves avec la charge mentale du foyer sur les épaules, un bébé dans les bras, et ton propre bien-être au fond du bac à linge.

4. Parce qu’il y a peu d’espaces pour dire “je ne vais pas bien”

Tu es dans une période ultra sensible de ta vie. Et pourtant, tu sens bien que les gens attendent que tu “gères”, que tu sois “épanouie”, que tu “profites”.

Mais toi, tu es là, épuisée, perdue, parfois en colère, souvent triste sans trop savoir pourquoi.

Et tu n’oses pas trop le dire. Parce que tu as peur qu’on pense que tu n’aimes pas ton bébé. Que tu ne sais pas t’organiser. Ou que tu es faible.

Alors tu continues. Tu serres les dents. Et tu enfiles ton rôle de gestionnaire en burn-out comme un uniforme invisible.

5. Parce que tu veux le meilleur pour tout le monde… sauf pour toi

Tu veux que ton bébé ait un environnement sain, un bon rythme, une alimentation adaptée, une stimulation équilibrée. Tu veux que ton couple tienne le coup. Tu veux que ta carrière ne s’effondre pas. Tu veux que tout tourne.

Et dans tout ça, tu t’oublies. Tu passes après. Parce que c’est temporaire, parce que ce n’est pas si grave, parce que “ça ira”.

Mais à force de faire passer tout le monde avant toi, tu finis par ne plus exister. Et quand tu n’existes plus… la fatigue te rattrape. L’irritabilité. Le découragement. Le sentiment de vide.


Tu n’as pas choisi ce rôle. Il s’est glissé dans ton quotidien, souvent par petites touches : “Je le fais, ça ira plus vite.” / “Il ne pense pas à tout, moi si.” / “Je préfère gérer moi-même.”

Et un jour, tu réalises que tu portes tout. Trop. Et que tu t’oublies en chemin.

Mais bonne nouvelle : il est possible de faire machine arrière. Tu ne vas pas tout larguer du jour au lendemain (ni déménager à Bali pour devenir prof de surf – quoique).

Mais tu peux commencer à relâcher la pression, à réorganiser les responsabilités, à réhabiliter ta propre place.

C’est ce qu’on va voir maintenant, avec 3 idées concrètes pour commencer à respirer sans sacrifier ton foyer.

OK, et maintenant ? 3 idées pour souffler un peu (sans tout envoyer valser)

Tu n’as pas besoin d’un miracle. Ni d’un stage de méditation au Népal (même si l’idée de ne parler à personne pendant 10 jours a un petit charme).

Tu as besoin de répit, d’espace mental, d’oxygène. Et ça commence par des ajustements simples mais puissants, adaptés à ta réalité de jeune mère.

Voici 3 leviers concrets pour reprendre un peu de terrain sur l’épuisement, sans tout chambouler.

1. Le stop du soir : une heure rien qu’à toi, chaque soir (oui, tous les soirs)

Tu as besoin d’un sas. Un moment qui dit : “La gestion du foyer est en pause. Moi aussi, je suis un être humain.”

📌 Concrètement :

  • Choisis une heure fixe (par exemple 20h30, ou dès que bébé dort).
  • À partir de là, tu ne fais plus rien d’utile. Rien de productif.
  • Pas de lessive. Pas de mails. Pas de planification du lendemain.

🛋 Tu fais quelque chose qui te nourrit, même un peu :

  • Lire 10 pages d’un roman.
  • Regarder une série débile mais réconfortante.
  • Écrire dans ton journal. Ou ne rien faire. Juste respirer.

Et si tu sens que tu n’as pas le droit ? C’est justement pour ça qu’il faut le faire. NB : si une heure c’est trop, commence par 10 minutes, puis 15 minutes etc. Laisse-toi le temps de construire cette nouvelle habitude mais ne renonce pas à la mettre en place. Tu le mérites !

Stop, ta pause du soir

2. Le brief de couple : 10 minutes par semaine pour se reparler (autrement que “Tu as pris les couches ?”)

Ton partenaire n’est pas censé deviner ce que tu ressens. Ce n’est pas de la mauvaise volonté, c’est juste… qu’il ne sait pas. Et si tu ne dis rien, tu continues à tout porter en silence.

📌 L’idée :

  • Choisis un moment fixe chaque semaine (dimanche soir, après le coucher, par exemple; moi j’avais une préférence pour le dimanche matin pour avoir une meilleure ambiance pour le reste de la journée).
  • 10 minutes. Chrono. Juste pour faire le point sur la semaine :
    • Qu’est-ce qui t’a pesé ?
    • Qu’est-ce que tu aimerais déléguer ?
    • Qu’est-ce qui fonctionne bien ?
    • Et comment vous vous sentez, tous les deux ?

C’est simple, mais c’est radicalement efficace.

Objectif : que tu ne sois plus la cheffe de projet familiale par défaut. C’est un foyer. Pas une start-up.

3. Le droit au “pas parfait” : désapprends l’excellence (temporairement)

Tu veux faire bien. Tu veux que ton enfant ait le meilleur. Mais parfois, vouloir trop bien faire devient un piège. Et ça t’épuise.

📌 Alors voici quelques autorisations officielles, signées de ma plume virtuelle :

  • Tu as le droit de servir des coquillettes trois soirs d’affilée.
  • Tu as le droit de ne pas repasser les petits vêtements.
  • Tu as le droit de laisser traîner une panière de linge pendant trois jours.

💬 Ce n’est pas un échec. C’est un choix de survie émotionnelle.

Et plus tu relâches la pression, plus tu retrouves de l’espace mental pour… exister.

NB : rappelle-toi qu’avant d’être la personne ultra compétente que tu es devenue, tu es passée par des années d’apprentissage et d’expérience. Autorise-toi à vivre la même chose dans ton nouveau “job” de maman !

Petit bonus : la règle des 3 délégations

Chaque semaine, choisis 3 tâches à ne pas faire toi-même. Peu importe lesquelles. Mais tu les délègues (pour de vrai), tu les supprimes, ou tu les repousses.

Tu verras : le monde ne s’écroule pas. Et toi, tu souffles un peu plus.

Ces ajustements ne vont pas tout régler d’un coup. Mais ils ouvrent une brèche. Une brèche dans laquelle tu peux glisser un peu de repos, un peu de toi, un peu de souffle.

Et une fois que tu reprends ton souffle… tu peux recommencer à vivre, pas juste à fonctionner.

On fera mieux demain ! Lâcher prise pour mieux vivre sa maternité

Conclusion – Alors, es-tu la gestionnaire en burn-out de ton foyer ?

Si tu as reconnu certains signes, que ton score a frisé le rouge, ou que tu t’es simplement dit “Mais… c’est moi, ça ?”, alors sache une chose : tu n’as pas à tout porter seule. Et surtout, tu n’as pas à te sacrifier pour que tout fonctionne.

Tu es déjà une mère incroyable. Ce qu’il te faut maintenant, ce sont des outils concrets pour retrouver ton équilibre, sans t’épuiser à courir après un idéal impossible.

🎁 Je t’ai justement préparé un guide gratuit pour t’aider à enclencher ce changement en douceur.

👉 Télécharge mon ebook « Retrouver l’équilibre après bébé », un concentré bienveillant de conseils pratiques, d’astuces anti-charge mentale, de routines testées et approuvées (par toi, par moi, par toutes celles qui n’en peuvent plus mais veulent que ça change).

Tu y trouveras :

  • Des clés pour écouter tes besoins sans culpabiliser
  • Des mini routines pour alléger ta charge mentale
  • Des outils pour mieux gérer les émotions et la fatigue
  • Et des pistes concrètes pour faire équipe avec ton/ta partenaire

Et toi, tu t’es reconnue dans ce test ?

Quel a été ton score, et qu’est-ce que tu vas mettre en place dès ce soir pour souffler un peu ?

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